- La vie du projet en milieux ouverts
- LIFE Terra Musiva
Le Syndicat mixte des gorges du Gardon a engagé cet hiver des travaux d'ouverture. 370 ha et 9 communes sont concernés !
A l’issue du diagnostic floristique réalisé en 2022 sur plus de 800 ha par les Ecologistes de l’Euzière et le CEN Occitanie, qui a permis de préciser les sites et modalités d’intervention, puis d’un important travail de concertation avec les communes, l’ONF et les usagers (éleveurs, chasseurs, distillateurs, etc.), le Syndicat mixte des gorges du Gardon a lancé les travaux en septembre 2023.
Ils sont réalisés sur 370 ha , répartis sur 9 communes :
6 entreprises ont été sélectionnées pour réaliser les travaux, en respectant un cahier des charges précis : conservation d’espèces végétales et/ou de sujets remarquables (Genévrier de Phénicie, Chênes, arbustes de grande taille, etc.), limitation des interventions sur les espèces envahissantes dont la coupe dynamise la propagation (Sumac des corroyeurs, par exemple), conservation d’îlots de végétation comme refuges pour la faune, etc.
Ces travaux visent à renforcer la conservation des pelouses à brachypode rameux et à d'autres habitats ouverts d'intérêt communautaire, qui constituent ou participent à l'habitat d'intérêt communautaire tels que l'Aigle de Bonelli, l'Alouette lulu ou le Pipit rousseline. Outre leur impact sur la biodiversité, ces travaux participent au maintien de l’activité pastorale, à la qualité paysagère ainsi qu’à la lutte contre les incendies.
Les travaux seront terminés d'ici fin février 2024. De nouveaux travaux seront réalisés à l'hiver 2024/2025.
Ils sont réalisés sur 370 ha , répartis sur 9 communes :
- Sur le site Natura 2000 du « Gardon et ses gorges » : Cabrières (15 ha), Collias (25 ha), Poulx (36 ha), Sainte Anastasie (5.5 ha) et Sanilhac-Sagriès (17 ha)
- Sur le site Natura 2000 des « Garrigues de Lussan » : Fons-Sur-Lussan (95 ha), Fontarèches (59 ha), La Bruguière (76 ha) et Lussan (44 ha)
6 entreprises ont été sélectionnées pour réaliser les travaux, en respectant un cahier des charges précis : conservation d’espèces végétales et/ou de sujets remarquables (Genévrier de Phénicie, Chênes, arbustes de grande taille, etc.), limitation des interventions sur les espèces envahissantes dont la coupe dynamise la propagation (Sumac des corroyeurs, par exemple), conservation d’îlots de végétation comme refuges pour la faune, etc.
Ces travaux visent à renforcer la conservation des pelouses à brachypode rameux et à d'autres habitats ouverts d'intérêt communautaire, qui constituent ou participent à l'habitat d'intérêt communautaire tels que l'Aigle de Bonelli, l'Alouette lulu ou le Pipit rousseline. Outre leur impact sur la biodiversité, ces travaux participent au maintien de l’activité pastorale, à la qualité paysagère ainsi qu’à la lutte contre les incendies.
Les travaux seront terminés d'ici fin février 2024. De nouveaux travaux seront réalisés à l'hiver 2024/2025.